QUI EST ZELENSKY ? L'histoire ...

Voici l’histoire de l’Ukraine et de Zelensky ...

Lors de la rencontre US/Ukraine, J.D. Vance a demandé pourquoi l’Ukraine ne remerciait pas les États-Unis pour les milliards d’aide financée par les contribuables.

Au lieu de remercier l’Amérique, Zelensky a réagi vivement, avertissant que les États-Unis « ne comprennent pas ce qui arrive ».
 

C’est alors que D. Trump l’a remis à sa place : « Tu n’as pas les cartes en main en ce moment. » 

Trump avait raison. Le masque est tombé ..

Zelensky n’a jamais été aux commandes de cette guerre. Il n’est pas un dirigeant héroïque qui donne les ordres. C’est un homme désespéré qui s’accroche au pouvoir dans un régime en ruine, soutenu par l’argent, les armes et la propagande occidentales.

Et maintenant, alors que les pertes sur le champ de bataille en Ukraine s’accumulent, que les conscrits sont retirés des rues pour aller se battre, que l’opinion publique occidentale change de cap, Zelensky panique.

L’Ukraine n’a pas été un acteur indépendant dans cette guerre.

Les vrais décideurs se trouvent à Washington, Bruxelles et Londres, jouant leurs jeux géopolitiques.
Cette guerre a été orchestrée pour affaiblir la Russie.

Pour comprendre cela, il faut connaître l’histoire ...

L’Ukraine et la Russie sont liées depuis plus de 1 000 ans. Kiev, la capitale ukrainienne, autrefois cœur de la Rus’ de Kiev — le premier grand État slave — a jeté les bases de la Russie elle-même. Le nom même de l’Ukraine signifie « terre frontalière » — c’est-à-dire la frontière de la Russie. 

Pendant des siècles, elle a fait partie intégrante de l’Empire russe, et non une nation « opprimée ».

Même à l’époque soviétique, l’Ukraine n’était pas occupée — elle était au centre de l’URSS. Le dirigeant soviétique Nikita Khrouchtchev était d’ailleurs ukrainien. 

Quand l’URSS s’est effondrée, l’Ukraine est devenue indépendante et Washington est intervenu — non pas pour aider l’Ukraine, mais pour l’armer contre la Russie.

Les États-Unis et l'OTAN ont menti à Gorbatchev, promettant qu’ils ne s’étendraient « pas d’un pouce vers l’est ». Pourtant, l’OTAN s’est installé en Pologne et dans les États baltes.   
 

L'Ukraine restait le grand enjeu. Si l'OTAN parvenait à attirer l'Ukraine dans son orbite, cela porterait un coup dévastateur à la sécurité de la Russie.

Moscou l'a clairement fait savoir : l'adhésion de l'Ukraine à l'OTAN était une ligne rouge à ne pas franchir. Mais l'Occident s'en fichait.
 

L’Occident a investi des milliards en Ukraine — finançant des groupes politiques pro-OTAN, des ONG et des médias pour fabriquer un État anti-russe.
 

En 2004, la CIA a soutenu la «Révolution orange», renversant une élection qui favorisait un candidat pro-russe. 

C'était leur première tentative de détournement du gouvernement ukrainien.

Mais le véritable tournant s’est produit en 2014 , lorsque Washington a orchestré un véritable coup d’État.

Viktor Lanoukovitch, le président démocratiquement élu de l'Ukraine, souhaitait un équilibre entre l'Est et l'Ouest.

Il a rejeté un terrible accord commercial avec l'UE qui aurait détruit l'industrie ukrainienne et a préféré chercher à nouer des liens plus étroits avec la Russie.

Washington ne pouvait pas accepter cette idée.

Ce qui a suivi a été le coup d’État de Maïdan – non pas une « révolution populaire », mais une prise de pouvoir soutenue par l’Occident.

Des responsables américains, dont Victoria Nuland et John McCain, ont ouvertement soutenu les manifestations. Nuland a été surprise lors d'une conversation téléphonique qui a fuité et qui a désigné les prochains dirigeants de l'Ukraine avant même que Ianoukovitch ne soit destitué.

Les violentes manifestations de rue ont été menées par des groupes néonazis comme le Bataillon Azov et le Secteur droit, des groupes qui admirent ouvertement les collaborateurs d'Hitler en Ukraine.

Lanoukovitch s'est enfui et le gouvernement choisi par Washington a pris le pouvoir.

L'une de ses premières mesures ?

L'interdiction de la langue russe dans les lieux publics , une attaque directe contre les millions d'Ukrainiens russophones de l'Est.

Les habitants de Donetsk et de Louhansk (aussi appelés Donbass) n'ont pas reconnu le nouveau régime de Kiev, soutenu par l'Occident. Ils ont organisé des référendums et ont voté pour la sécession. La Crimée, où se trouve la flotte russe de la mer Noire, a également organisé un référendum : plus de 90 % des habitants ont choisi de rejoindre la Russie.

La réponse de Kiev ? Une guerre brutale.

Au lieu de laisser le Donbass s’en aller, l’Ukraine a lancé une offensive militaire. Pendant huit ans, les habitants de Donetsk et de Louhansk ont ​​subi des bombardements, des frappes aériennes et des blocus. Des milliers de civils sont morts. Où était l’indignation occidentale ? Nulle part, parce que les médias l’ont ignorée.

L’Ukraine a même utilisé des milices liées aux nazis, comme Azov , pour faire la guerre à ces civils. Ces groupes portaient des symboles SS, célébraient les criminels de guerre nazis et commettaient des atrocités. Et pourtant, l’Occident les a armés, les a entraînés et a menti sur leur existence.

Et Zelensky? Qui est-il ?

Est-ce un leader organique venu de nulle part ou a-t-il été installé ?

Covert Action a rapporté qu'en octobre 2020, Zelenskyy avait secrètement rencontré le chef du MI6, Richard Moore.

Pourquoi un président étranger rencontrerait-il le principal espion du Royaume-Uni plutôt que son Premier ministre ?

Diplomatiquement, cela n’a aucun sens. Mais si Zelenskyy était un agent du MI6, c’est tout à fait logique.

Selon Andriy Mishin, un ancien employé du ministère ukrainien des Affaires étrangères, cette rencontre signifiait que Zelensky était un agent de renseignement professionnel et que Moore était son responsable direct, lui disant quoi faire.

Depuis 2020, il s’entoure de gardes du corps britanniques, et non ukrainiens.

Lors de sa visite au Vatican en mai 2023, Zelensky a snobé le pape François et a préféré passer du temps avec l’évêque britannique Paul Gallagher.

Son agent de liaison, Sir Richard Moore, était également présent.

Sommes-nous vraiment censés croire que tout cela n’est qu’une coïncidence?

Et si Zelensky est un agent de renseignement, alors toute sa présidence – toute sa personnalité – n’est qu’une illusion conçue pour le public occidental.

Cela nous amène à son ascension au pouvoir...

Avant d’être président, Zelensky était comédien, acteur de télévision dans une série télévisée ukrainienne intitulée Serviteur du peuple , où il jouait le rôle d’un humble professeur qui devient miraculeusement président. C’était de la pure fiction politique.

Et puis, tout à coup, c’est devenu une réalité!

Sa campagne a été gérée par des spécialistes occidentaux des relations publiques – dont un rédacteur de discours d’Obama – et largement financée par l’oligarque ukrainien Ihor Kolomoisky, l’un des hommes les plus corrompus d’Ukraine.

Kolomoisky était par hasard propriétaire de la plus grande compagnie pétrolière et gazière et de la plus grande banque d'Ukraine.

Lorsque Zelensky a pris le pouvoir, malgré sa promesse, sa première priorité n'était pas de lutter contre la corruption, mais de s'assurer que les sociétés financières occidentales comme BlackRock prennent le contrôle de l'économie ukrainienne.

Nous savons désormais que Zelensky a fait transiter des millions de dollars vers des comptes offshore, de l’argent qui aurait pu revenir à ses proches. Il l’aurait utilisé pour acheter :

- Un manoir de 34 millions de dollars à Miami

- Une maison en bord de mer pour ses parents en Israël

- Un appartement de luxe de 3,8 millions de dollars à Londres

C'est l'homme que les médias appellent un héros ...

Et une fois installé, son véritable travail a commencé : provoquer la guerre avec la Russie au nom de l’Occident.

En 2022, l’OTAN avait armé l’Ukraine jusqu’aux dents et Kiev avait massé des forces près du Donbass.

La Russie avait le choix : laisser la population russe du Donbass subir un nettoyage ethnique, puis laisser l’OTAN transformer l’Ukraine en base de lancement de guerre, ou intervenir.

Les médias ont crié à l’« invasion non provoquée ». Mais elle a été provoquée. L’expansion de l’OTAN, le coup d’État de 2014, les huit années de guerre dans le Donbass – cette guerre a été fabriquée à Washington et, si les allégations selon lesquelles Zelensky serait un agent du MI6 sont fondées, également à Londres.

Zelensky peut crier tout ce qu’il veut à la Maison Blanche, mais son jeu est terminé. L’Ukraine n’a jamais été un acteur indépendant dans cette guerre – elle n’était qu’un pion. Un pion utilisé par les acteurs de l’État profond à Washington pour affaiblir la Russie et " agrandir l'Otan.

Maintenant que la guerre est perdue, ce pion est abandonné.

Ainsi, lorsque Trump dit à Zelenskyy « vous n’avez pas les cartes », il ne parle pas seulement de négociations, il révèle la vérité.

Et pourquoi Trump ferait-il cela si Zelensky est une marionnette occidentale ou, pire encore, un agent des services de renseignement ?

Parce que cela signifierait qu’il est une marionnette ou un agent de l’État profond – le même État profond qui a essayé de détruire Trump depuis sa première élection en 2016.

Peut-être que le président Trump veut se venger, peut-être qu’il veut la justice, ou peut-être qu’il veut simplement la paix et la fin de cette guerre inutile.

La guerre en Ukraine n'était pas nécessaire.

Elle a été délibérément provoquée .

Il est temps que le monde prenne conscience de cette réalité...